samedi 14 mars 2009

Peut-être avec Vincent, peut-être avec toi... 2

Mais je ne te laisse pas longtemps avant de me diriger au creux de la taille, zone très sensible. C'est ici que je passe un peu plus de temps pour gouter chaque centimètre carré de ta peau. Ma bouche entière l'aspire. Ma langue la creuse. Ton corps se tord de plaisir.

Tu sens mon souffle chaud qui monte le plus lentement du monde à ton aisselle. Lieu magique du plaisir. Je pourrais y passer des heures. Je m'applique à faire monter la tension à son point le plus ultime.
Le frisson. Oui, je crois bien que c'est le frison que j'aime le plus chez toi. Lorsque ma langue effleure tout juste ta peau et que cette dernière est alors prise d'un sursaut et de petits tremblements.

Je me sens ivre et ne veux que partager cette ivresse. Je veux faire durer cette ivresse encore longtemps. Nous n'avons rien de presser sinon notre désir. Il m'appartient de le ménager. De l'attiser autant que de le freiner afin de pouvoir te tenir encore un long moment ainsi, à ma merci, nu sous mon corps.

Oui, tu es nu. Et seule une petite bougie de la table de salon nous permet de nous entrevoir. Les muscles de ton corps en sont encore plus beaux. Cette faible clarté venant du côté crée un relief des plus excitant sur toi....

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