mercredi 22 avril 2009

Une histoire d'après Nicolas... (1)

C'était au sauna...

Un superbe mec, la trentaine, musclé, de magnifiques abdominaux, à peine plus petit que moi, me fait face. Il a la peau claire légèrement métissée, les os épais, les traits carrés, avec une bouche pulpeuse qui laisse réveur.

Je le regarde avec insistance. Il me suit jusqu'à la cabine du sauna.
Direct, nous nous caressons. J'embrasse ses lèvres généreuses. Mes mains tremblantes parcourent son corps musclé. L'intimidation m'empêche d'avoir une érection.En parcourant sa peau, ma main effleure son sexe. Je me rends compte qu'il est énorme: long, épais... La pression monte. Ca m'excite autant que ça me fait peur...Je n'ose pas encore descendre ma bouche plus bas que son ventre dessiné par la musculature. Il m'embrasse dans le cou. C'est à ce moment que mon sexe se raffermi. Mon étalon, couvert de fines goutelettes d'eau, vient à vérifier l'état de mon pénis. Il prend alors ma main afin de la poser sur le sien. A vu de doigts, je pense qu'il doit être de 22 sur 6!! Je prends alors conscience que je vais en avoir plus qu'il n'en faut pour mon petit cul.
L'envie monte intensément en moi. L'envie de l'embrasser. L'envie de le sucer. L'envie qu'il me pénètre. L'envie de hurler de plaisir.J'ai le coeur prêt à m'arracher le torse à battre à ce rythme!

Je me penche sur lui pour déposer ma bouche sur sa queue géante. Jamais avant, je n'avais eu la bouche autant farcie... Pourtant avec Alexandre, j'avais appris à faire la félation façon "gorge profonde" et à bien remplir l'espace buccal (mais c'est une autre histoire...).La pression dans la cabine est au plus haut.

Au bout de quelques minutes, j'ouvre la porte et exhibe très fiérement ma "prise". LE mec bien monté du sauna! Je cherche la jalousie chez les autres petits minets qui errent en serviette de bain.A la vue de tous, je reprends mon activité. Je le suce. Les regards se tournent vers nous. Le public s'amoncelle devant la porte de al cabine. Cela m'excite au plus haut point. Mes lèvres et ma langue font un monstrueux va-et-vient sur cette queue gargantuesque. Lui et moi cherchons du regard si un mignon nous plait pour nous rejoindre. Mais nous ne trouvons personne à notre goût et les plus jeunes semblent trop farouches.
A force de se dispercer en cherchant qui passe à l'extèrieur, nos sexes s'appaisent et se ramolissent. Je me reconcentre et enfonce sa queue jusqu'au fond de ma gorge pour que tout revienne...
Ce mec parait connaître mes plaisirs et mes désirs. Il me met à tere, sur le dos. Il m'écarte les cuisses en me montant les pieds. Il me promet un plaisir extrème juste avant de coller son visage sur mon cul. Ce n'est pas un simple anulingus qu'il me fait. Il me bouffe littéralement! Sa langue s'enfonce au plus profond de mon corps. Il me semble qu'elle est aussi longue et dure que son sexe. Il ne me ménage pas et j'adore ça. Ca s'entend. Je ne peux m'empêcher de crier. Ma respiration est haletante. Je me moque que l'on m'entende dans tout le sauna ou même au-delà. Les autres n'en auront pas. Je ne veux pas partager ou amoindrir cet instant. Je veux épuiser mon étalon. Je veux qu'il m'épuise...

Mon fantasme m'obsède alors. Je tourne sur moi-même afin de lui attraper les pieds et de les lui lécher. Je me fiche de ce qu'il peut penser de moi. J'enfonce ma langue entre ses orteils, et les suce un à un. Il continue de s'occuper de mon petit cul. Mon plaisir est à son paroxysme. A la force de son travail, j'ai l'impression d'avoir l'anus plus ouvert encore que ma bouche!
Avec ma souplesse, il fait de moi ce qu'il veut. Il exploite toutes les positions possibles sans lâcher mon cul. Je me plie à toutes ses volontés.

Ses doigts commencent à remplacer sa langue. Je les sens s'enfoncer. Un puis deux, puis trois... Je suis sa chose. Je comprends bien qu'il me prépare pour une autre étape. J'ai déjà hâte. En reprenant la fellation, je mesure de la langue ce que je vais prendre dans un instant.
Je l'avait vu en rêvant de son corps sculpté et magnifique. Maintenant, je ne veux plus que sa bite.
Sa bite dans mon cul de salope!! Je n'attends plus que ça!!

...

mardi 7 avril 2009

Rencontres, flirts, sexe...

C'est un peu le cocktails de mes sorties bordelaises.
Je sors souvent. Pas assez à mon gout.
Je rencontre quelques mecs. Pas assez à mon gout.
Je flirte dans les bars et les boites. Pas assez à mon gout.
Je ..... Pas assez à mon gout.

Il y a celui qui s'approche doucement pour venir danser contre moi. Lorsque les peaux viennent à se toucher, je l'embrasse. Je sens alors le frisson qui glisse le long de la colonne vertébrale. La danse et le baiser s'alternent jusqu'à ce que la tension nous enivre et que les lumières nous coupent de notre isolement.
La suite se déroule alors dans l'appartement du monsieur. Quelques caresses sur un canapé. Vite abrégées afin de poursuivre sous les draps. Je commence par me laisser faire. J'ai besoin qu'on s'occupe de moi. Ça tombe bien, il prend les choses en main. Ainsi que mon corps!

Il y a celui au look plus que décalé. Je l'ai vu apparaitre tel une diva avec une mantille sur la tête pour protéger sa chevelure du vent, un pantalon qui laisse tout deviner de la maigreur de ses jambes, des petits mocassins (peut-être emprunter à sa mère). En m'approchant de cette diva, j'ai vu son maquillage: un teint lisse et soyeux déjà au regard, une bouche pulpeuse et brillante. Je lui tiens la main. Étonnante main à la peau plus douce qu'une pêche. Que fait-il pour cela? N'a-t-il jamais rien tenu entre ses doigts sinon un pot de crème de chez Sisley? La diva a une culture époustouflante. Elle est intarissable sur tous les sujets.
Entre sa beauté, sa douceur, son raffinement et sa culture, son aristocratie ne fait aucun doute.

J'ai aussi rencontré le "beau gosse" dont la beauté n'a d'égal que son hypocrisie. Allumeur infatigable qui clame haut et fort qu'il est en couple et ne veut rien faire à l'encontre de celui-ci. A chaque fois qu'il en parle, je sens un appel en fond qui demande à ce que l'autre fasse le premier pas. Et il n'y a pas eu besoin d'une grande enjambée pour m'allonger sur lui, le déshabiller en l'écoutant me parler de sa fidélité à son ami.

Mais il y a également l'autre allumeuse! Celle qui danse comme une chatte avec un déhanché digne des acrobates chinois. Un garçon tout fin, aux yeux malicieux. En dansant devant lui, je m'imagine devant la vitrine de Cadiot Badie, sur les Allées Tourny, un dimanche en ne pouvant rien espérer de plus qu'une image alléchante.

Il y a plus particulièrement ce rockeur inclassable. Lui qui doute à chaque seconde de lui-même et qui est pourtant suivi par tout un monde. De l'allumeuse au beau gosse, de la diva à l'amant d'une nuit, ils sont tous là, juste derrière lui, à suivre et à écouter tout ce qu'il dira, tout ce qu'il voudra. Ce rockeur au charme débordant est un tombeur et pourtant aussi un éternel célibataire.

Bordeaux est une ville pleine de charme. Et de charmeurs. Sa population y est des plus variée.
A Bordeaux, j'ai un coup de coeur chaque jour...

samedi 14 mars 2009

Peut-être avec Vincent, peut-être avec toi... 2

Mais je ne te laisse pas longtemps avant de me diriger au creux de la taille, zone très sensible. C'est ici que je passe un peu plus de temps pour gouter chaque centimètre carré de ta peau. Ma bouche entière l'aspire. Ma langue la creuse. Ton corps se tord de plaisir.

Tu sens mon souffle chaud qui monte le plus lentement du monde à ton aisselle. Lieu magique du plaisir. Je pourrais y passer des heures. Je m'applique à faire monter la tension à son point le plus ultime.
Le frisson. Oui, je crois bien que c'est le frison que j'aime le plus chez toi. Lorsque ma langue effleure tout juste ta peau et que cette dernière est alors prise d'un sursaut et de petits tremblements.

Je me sens ivre et ne veux que partager cette ivresse. Je veux faire durer cette ivresse encore longtemps. Nous n'avons rien de presser sinon notre désir. Il m'appartient de le ménager. De l'attiser autant que de le freiner afin de pouvoir te tenir encore un long moment ainsi, à ma merci, nu sous mon corps.

Oui, tu es nu. Et seule une petite bougie de la table de salon nous permet de nous entrevoir. Les muscles de ton corps en sont encore plus beaux. Cette faible clarté venant du côté crée un relief des plus excitant sur toi....

vendredi 13 mars 2009

Peut-être avec Vincent, peut-être avec toi... 1

Je croise ton regard. Tu accroches le mien. Le premier contact se fait.
Quelques questions banales pour avancer un peu. Progressivement le dialogue se met en place. Puis la drague.
Le plaisir et l'envie prennent le pouvoir.

Assis l'un à côté de l'autre, nos corps se frôlent. Je ne parviens plus à me concentrer sur quoi que ce soit.
Nos mains s'effleurent. Nos lèvres s'unissent. Nos langues se nouent. Nos cœurs se lient dans un concert de plus en plus rapide.

Le temps est trop long. Le temps est trop court.
Je ne sais plus si je dois me tenir à distance afin de pouvoir apprendre tes yeux ou répondre à ma bouche qui réclame la tienne.

Ma main sert la tienne. Je t'emmène.

Il me faut te connaître, t'apprendre.
Tu est assis sur le canapé, moi au-dessus de toi. Ta tête repose sur mon ventre.
Doucement, mes mains se posent sur ton crâne. Elles glissent au milieu de tes cheveux.
Le massage débute.
Je caresse chaque os de ton crâne. En commençant du front vers la nuque en passant par les tempes.
Tes cheveux sont souples. Ils glissent entre mes doigts au rythme des petits mouvements circulaires.
Tout en prenant le plus grand soin d'appuyer ta tête contre moi, je viens à masser tes yeux, ton nez, tes pommettes, ton cou, tes oreilles.
Dans un murmure, tu m'expliques combien tu apprécie la détente.

Alors je glisse derrière toi afin que nous nous retrouvions à la même hauteur. De là, je peux mieux te masser le cou et les épaules. Ce cou si fin, ces épaules si larges...
Mes mains appliquées sur ton cou, je sens tes veines se gonfler rapidement. Je sens l'excitation s'avancer.
Rapidement il me faut passer à autre chose.
C'est vers la chambre que je te dirige. Sur le lit.

Avant de m'allonger, je prends soin de baisser la lumière pour ne garder qu'une ambiance orangée. La musique est presque inaudible. Juste ce qu'il faut.
Je t'installe sur le ventre et m'assieds sur tes fesses.
Tu es surpris lorsque je veux ôter ton T-shirt mais tu me laisses faire.
Un frisson parcourt ton corps.

Je prends le temps de t'admirer, de contempler tes muscles.
Alors mes mains s'appliquent sur ta peau. Quelques secondes passent avant que je ne les avancent vers tes épaules. En premier, elles en font qu'effleurer ton dos. Arrivées à ton cou, mes mains se collent à ta peau et glissent le long de tes épaules. C'est avec fermeté que je masse sur tes omoplates, ta colonne vertébrale, ta taille. Je fais durer cette opération jusqu'à connaître chacun de tes muscles, jusqu'à ce que tu mordes l'oreiller.

Tu tentes de bouger, de quitter l'emprise de mes jambes qui t'encerclent. Je t'empêche le moindre mouvement. Je sens ton excitation très forte. Tu veux mettre fin à ce supplice. Tu veux passer à un autre jeu.
Ce n'est pas encore le moment.

Lorsque tu te calmes, la tension s'abaisse un peu, j'en profite pour glisser vers l'arrière. Ma main passe entre le drap et toi afin de déboutonner ton pantalon. Je sens la fermeté de ton sexe. Je t'enlève le jean en prenant soin d'emporter le caleçon avec. Tes jambes se soulèvent pour les libérer un à un.

Dans le mouvement, je porte un orteil à ma bouche. Ton corps se raidi instantanément. Je le lèche et le suce pendant une minute avant de passer aux autres. Ma langue glisse et s'emmêle entre tes orteils. Elle parcourt le pied jusqu'au talon et s'arrête longuement sur la plante. Ton corps est pris de convulsion. Tu veux te retourner, me faire lâcher.

Je continue.

Maintenant, je suis autour de ta cheville. Le tour complet est un régal. Sur le dessus du pied, les os qui dépassent sur les côtés et la peau fine à l'arrière. Chaque zone apporte son lot de plaisir. Je goute à chacune. Ma langue s'applique sur chaque bosse et dans chaque creux autour de ta cheville.
Avec nue lenteur calculée, je remonte ton mollet pour m'attarder à l'arrière de ton genou. Ma langue dure comme un sexe en érection veut s'enfoncer dans ta peau. Ma bouche s'ouvre pour saisir tout ce qu'elle peut. La succion te fait te cambrer. Lorsque je sens que tu ne peux plus te contrôler, je continue l'ascension de ton corps.
Mon souffle parcourt tes cuisses jusqu'à la frontière de tes fesses. Ton corps se contracte. Je t'entends haleter, le visage enfoncé dans l'oreiller.

Je contourne ta fesse pour venir mordiller ta hanche. C'est un changement de sensation pour toi. Je vois ta peau se granuler façon "chaire-de-poule" mais je te vois aussi te détendre un instant. C'est comme une pause dans le jeu de l'excitation pour toi.

Tu peux laisser un instant la tension redescendre...

vendredi 6 mars 2009

Rien ne vient

Rien.
Je n'ai plus rien.
J'ai pourtant tellement de sujets qui me brulent les lèvres (ou les doigts).
Mais les phrases ne sortent pas.

Depuis quelques jours, je sens que les questions reviennent et que le moral chute.
Je ne sais pas pourquoi.
Les doutes, la solitude.
Oui. Surtout la solitude.
Elle est toujours là.
Paradoxalement, mon éternelle partenaire.

Il est difficile d'avoir continuellement autant de doutes sur soi-même. De ne jamais se sentir à la hauteur. Pour quoi que ce soit.

Mes doutes reviennent aussi à l'approche d'un nouveau changement chez moi.
Après avoir pris et annoncée la décision de quitter Bordeaux. Je suis à Nice depuis un an.
Aujourd'hui, je dois retourner à Bordeaux pour 2 mois. J'ai autant de joie que de peur.
Je retourne dans mon pays sans avoir de "chez moi".
J'aurais juste le temps de reprendre mes marques que je devrais repartir à nouveau pour rentrer à Nice.

Là-dessus, vient se greffer la fatigue. C'est tout juste si j'ai droit à un jour de repos par semaine. Quant aux vacances, je n'y pense même pas. Ca reste purement théorique pour moi.

En ce moment, je suis vide de tout.
Rien ne vient.

Rien.

jeudi 5 mars 2009

Loïc et Muriel

Cette année, j'ai deux anniversaires à cette date.


Loïc. Depuis un an, tant de choses se sont passées.
J'ai quitté Bordeaux pour Nice. J'ai rencontré puis me suis séparé.
Tu as quitté Bordeaux pour Paris. Tu as rencontré puis t'es séparé.
Nous nous sommes tous les deux épanouis au travail.
Tu as retrouvé les tiens quand moi j'ai lié de nouvelles connaissances.
C'est le boulot qui nous fait nous retrouver sur Paris.
Tu es toujours aussi ambivalent. C'est autant plaisant que frustrant. Mais j'ai toujours un grand plaisir à te revoir.




Muriel. Moins d'un an que nous nous connaissons, et j'ai pourtant l'impression que ça fait une vie entière!
En toi j'ai découvert une jeune femme intéressante, intéressée par tout, cultivée, amusante, rieuse,...
Tu peux apparaître avec une coiffure Charleston et un dos-nu plongeant jusqu'à la chute des reins!
L'élégance autant que le charme te définissent parfaitement.
J'ai un grand plaisir à partager du temps avec toi. J'espère avoir l'occasion de le faire encore très souvent et très longtemps.




A vous deux, je vous souhaite un excellent anniversaire.

samedi 14 février 2009

jeudi 5 février 2009

Nico

*Et je m'y sens comme chez moi aussi. Merci.

De blabla en blabla, tout ça pour te souhaiter un excellent anniversaire pour cette nouvelle décimale! C'est avec un grand regret que je ne pourrais pas assister à ta soirée prévue. Mais j'y penserai fort du bout de la Russie.

lundi 2 février 2009

Une nouvelle chaine de TV?

Voila quelques temps que ma TV est débranchée. Sur toutes les chaines qui peuvent exister, il y a beaucoup de choses intéressantes. Mais pas seulement! Malheureusement... Et je suis loin d'être un cas d'exception: j'entends régulièrement la même plainte.

Alors pour que la TV puisse séduire à nouveau ceux qu'elle a perdu, il lui faudrait peut-être un autre produit. Une chaine qui me corresponde mieux, qui TE corresponde mieux.
J'ai donc imaginé un petit sondage pour savoir ce qu'il faudrait y mettre. Qu'est-ce qui peut te plaire au petit écran???


mardi 27 janvier 2009

samedi 17 janvier 2009

Courts ou longs?

J'hésite. Je ne sais pas.
C'est toujours très difficile de se décider. Et de s'y tenir.

Courts ou longs?

J'ai déjà essayé plusieurs possibilités au fil des années. Ceux qui me connaissent depuis longtemps m'ont vu passer par beaucoup de choses.

J'ai tant envie de laisser à nouveau pousser mes cheveux mais c'est tellement long!!
Entre 2000 et 2003, ils étaient arrivé aux omoplates. Trop beaux!! Mais pas joli autour du visage.
Maintenant j'ai envie de revenir aux coupes que l'on trouve dans le Barri Gotic de Barna. Avec une nuque longue et le dessus relevé. Mais en attendant...
C'est long!

Les ciseaux sont juste à côté de moi. Je n'ai qu'à tendre le bras et je peux commencer.
Commencer? Mais pour faire quoi? Pour tout couper? Ou seulement les dessus? Les côtés?

Et si je ne recoupais que la frange?
Mais pourrais-je m'y tenir? Je risque de ne pas pouvoir me contenir une fois les lames à la main.

C'est dur.
J'hésite.

Il faut que je me concentre sur un seul objectif, une seule coupe.
Mais c'est une chose difficile quand on en voit plein toute la journée: des plus classiques aux plus marginales.

Et après? Je fais quoi pour la couleur?
Juste un châtain? Une déco? Ou les deux?....

J'hésite...

Allez, je vais dans la salle de bain, face au miroir et on verra bien ce qui reste à la fin. Quand je serais calmé...

jeudi 8 janvier 2009

....

Victoire

Aujourd'hui, je me sens bien dans ma peau.
Prêt à aller de l'avant.
Prêt à faire ce que je n'ai jamais fait.

J'efface et laisse derrière moi mes démons.
J'extériorise beaucoup depuis un mois.
Je me mets face à mes doutes et les gomme.



La vie est trop belle pour s'encombrer et s'empêcher d'avancer.

Comme Bernard Werber en parle dans ses livres: il vaut mieux améliorer ses qualités que de corriger ses défauts. C'est plus rapide, plus facile et plus serein pour l'esprit.

mercredi 7 janvier 2009

jeudi 1 janvier 2009

2009