dimanche 16 mars 2008

Laul deNice

Ca fait une semaine!
Déjà!

Ca passe très vite, trop peut-être...

Je partage mon temps entre la découverte de mon boulot: l
es nouveaux collègues,
nouvelles habitudes,...
et le rangement de mon appart.
Là, c'est pas gagné encore!!

Je suis menoté pour quelques temps, sans internet.
Par là, je me suis également déconnecté des blogs que je lisais à un rythme presque quotidien.

Les repères se perdent vite.
Il me faut en construire d'autres: des bouées d'amarrage afin de ne pas sombrer...


Mais Nice est une belle ville!

samedi 8 mars 2008

Mes mecs

Aujourd'hui,
mes mecs, vous m'avez tous aidé.

Sans vous, je n'aurais rien fait.

Alors un grand merci à vous trois!

mercredi 5 mars 2008

Loïc

27 ans pour toi,
Une seule année pour nous,
Qui me parait une éternité.
Souvent j'ai l'impression de t'avoir toujours connu.

Tu es loin de chez toi,
Dans 4 jours, je pars à mon tour.
Je te laisse.

Dans l'année, je saurais moi aussi ce qu'est un anniversaire loin des siens.
J'espère pouvoir t'aider à oublier cet éloignement.
Ce sera un peu mon cadeau aujourd'hui:
T'occuper.
Te sortir.
Te faire rire.
Te réjouir.
Et te souhaiter un joyeux anniversaire...

...mon ami.

lundi 3 mars 2008

Pleurs

Devant toi, rien ne vient.
C'est à ton départ que les larmes me viennent.

Devant toi, elles s'abstiennent.
La douleur est là.
Pas les pleurs.

A l'instant où tu me quitte,
Mes yeux s'inondent.

Devant toi, j'ai la gorge qui se noue.
Je voudrais tant me blottir dans tes bras.
Je voudrais tant que tu me console.
Je voudrais tant rester avec toi.
Je voudrais tant que tout s'arrête, ici.

A l'instant où je te quitte,
....

Je ne sais plus.

Je ne comprends plus.

Je voudrais tant courir et te rejoindre,
T'empêcher de dormir,
Me lover contre toi,
T'embrasser à ne plus pouvoir respirer.

Je n'en fait rien.

Juste,
Je pleure...


samedi 1 mars 2008

Le premier

Aujourd'hui, c'est son anniversaire.

Je me souviens toujours de ce 27 Mai.
Comme d'hier.

Certaines journées nous marquent et sont gravées dans nos têtes pour longtemps.
Peut-être pour toujours...

L'appartement était vide.
Il venait d'emménager.

Seulement une table de récupération
et deux chaises dépareillées près de la baie vitrée.

La vue sur la Garonne.
Sur le coucher du Soleil à l'ouest.

Lui, je le trouvais beau.
Avec un regard perçant.
Celui qui te met à nu et te pénètre.

Il m'a fait boire.
Je n'étais ivre que de sa vue et de ses mots.

A cette époque, nous étions habillés très large.
Je cachais, sous l'ampleur des vêtements, mon excitation.

Nous avons longuement trainé dans le salon.
Avant d'aller dans sa chambre.

Un lit une place trônait
à côté de quelques cartons et fringues.

Délicatement,
Doucement,
Il me caressait.
La main.
Le bras.

La nervosité me faisait parler.
De tout, de rien.
Mais beaucoup.
Trop.

Il embrassa ma main.
J'eus un mouvement de recul.

Il patienta,
Et recommença à caresser ma main.

Mon coeur battait comme jamais.
Je ne comprenais rien à la situation.

Il se mit dans les draps.
M'y invita.

J'y suis rentré.
Habillé.

Ses caresses.
Mes paroles pour me noyer.

Il m'a déshabillé.
Doucement.
Comme si j'étais de verre.

Ses caresses ont parcouru mon corps.
Ses baisers sont venus alors.
Sur le bras.
Sur le torse.

J'ai fini par me taire.
Et par le laissé m'embrasser.

Une fois
Un peu.

Puis longuement.
Et intensément.

Tout tapait dans mon esprit.
Tous mes acquis se cognaient à la réalité qui les brisait.

Je l'ai enlacé.
Et suis resté dans son lit.

Nous avons peu dormi.
Par intermittences.
Alternées de fusion.

Cela à duré.
Jusqu'au début de l'après-midi du lendemain.

Je n'ai jamais eu autant mal au sexe que ce jour-là.


Aujourd'hui, tu as 38 ans.
Merci à toi.
Tu m'a fait rêver pendant tant d'années.
Je me suis senti fort à tes côtés.
J'ai appris à profiter.
A prévoir l'imprévu.

Merci...

Ce n'est qu'un au revoir

Horreur!

Mon lien au monde va se couper. Je serais alors dépendant des amis qui voudront bien m'accueillir sur leurs écrans le temps que Free veuille bien me remettre une ligne lorsque je serais installé à Nice...

Horreur!

Je ne pourrais plus aller voir de façon presque quotidienne les blogs des autres. Etre l'œil qui espionne par le trou de la serrure la vie des blogueurs...

Horreur!

J'ignore combien de temps l'affaire va durer. S'il me faudra attendre une semaine ou deux mois...

Horreur!

En attendant, si quelqu'un connaît de bonnes adresses sur Nice ou sa région, je suis preneur. Je ne connais pas encore, mais dans une semaine j'y pose ma valise et tous lers meubles qui vont autour...

Horreur!

D'ici que je puisse à nouveau me connecter au monde, portez-vous bien, tous. Surtout, abusez de vos corps. On n'en fait jamais assez.


Laul au reste du monde...